Pas de chemin, ça dit juste qu’il n’y en a pas. Alors, que reste-t-il ? Où sommes-nous ? Pouvons-nous voir, là, tout de suite “ce qui reste”, “ce qui Est” ? Acceptons-nous “l’Être” ? Acceptons-nous la vérité de ce présent, sans nous projeter de nouveau sur un chemin ?
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